samedi 11 février 2012

Baudelaire de rien...

6 commentaires:

  1. Ha ha !!!
    Excellent les volets.

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  2. - Tu t'entraînes pour passer chez Ruquier?...

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  3. "Je t'adore à l'égal de la voûte nocturne,
    Ô vase de tristesse, ô grande taciturne,
    Et t'aime d'autant plus, belle, que tu me fuis,
    Et que tu me parais, ornement de mes nuits"

    Cricri arrête un peu de nous casser les burnes !
    Ôte donc tes converses et chausse tes cothurnes.
    Dis bonsoir à la dame et file dans ton lit !
    Les aiguilles tournent vite, il est bientôt minuit !!

    "Horloge! dieu sinistre, effrayant, impassible,
    Dont le doigt nous menace et nous dit: "Souviens-toi!
    Les vibrantes douleurs dans ton cœur plein d'effroi
    Se planteront bientôt comme dans une cible !!!"


    Mais c'est qu'y s' arrête plus !! Cette fois c'est est trop !
    Cricri, RIDEAU !!

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  4. c'en est trop ! bien sûr
    Y m'a trop énervée le wouaré là !!

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  5. Suite
    ...Il s'avance à l'attaque, et il grimpe aux "rideaux",
    (pardon Mr. Baudelaire) aux assauts,
    Pour fermer les volets et endormir ses plus cruels maux !

    A Cricri, l'éternel incompris !... ; )

    Monique

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